1 lien privé
DE LA HONTE À LA HAINE vidéo à l'invitation de l'APPPsy et des Halles de Schaerbeek
Faut-il « passer au karcher » la violence des jeunes de banlieue ?
L’organisation féministe, pointée du doigt pour avoir réagi tièdement aux violences faites aux femmes en Israël, s’empêtre dans les polémiques. Echaudées par ses liens avec des collectifs accusés d’antisémitisme, certaines membres ont pris leurs distances. Le gouvernement a menacé dimanche de couper les subventions aux associations «trop ambiguës» sur le sujet.
Interview + présentation de son film "Orlando"
Dans Revue française de psychanalyse 2017/3 (Vol. 81), pages 151 à 184
L’œuvre de J. Bleger, ainsi que celles d’autres psychanalystes du Río de la Plata (la rivière entre Buenos Aires et Montevideo), semble depuis déjà quelques années susciter un intérêt grandissant dans le monde psychanalytique francophone, ce dont témoigne un colloque récent à Genève (Silvia Amati-Sas, Marie-Claire Caloz-Tschopp et Valeria Wagner, 2016). Ce texte retrace certains aspects du parcours de J. Bleger, une pensée en débat, en le situant dans le contexte de la psychanalyse du Río de la Plata des années 50 aux années 70. Le texte aborde quatre concepts que J. Bleger a particulièrement travaillés : la séance psychanalytique, la symbiose, l’ambiguïté et la question du cadre psychanalytique.
Vomie par la terre : c’est ainsi que je me sentait, raconte Oghogho, mais « raconter »
est trop, peut-être même pas dire donne l’idée. C’est une espèce de sanglot ou même
un « vomi », un effort de faire sortir quelque chose, remarquable mélange de rejet
mais aussi d’expression (ex-pression, comme l’écrit Kafka: nous ne pouvons ex-
premere, mettre dehors, que ce que nous ne sommes pas, la mensonge). Elle est
arrivée dans un village italien à travers la route libique-centre-africaine, provenant de
la Nigerie. Son âge est en quelque sorte indéfinissable : elle est une gamine, 16 ans
déclarés. Si on la regarde...
Marcel Gauchet, « L’attraction fondamentaliste », Figures de la psychanalyse
2017/2 (n° 34), p. 39-50. DOI 10.3917/fp.034.0039
https://www.cairn.info/revue-figures-de-la-psy-2017-2-page-39.htm
L’objectif général du projet "Rien à faire, rien à perdre" est de contribuer à favoriser le lien et à prévenir le repli sur soi et le passage à l’acte de certain(e)s jeunes, par une meilleure compréhension des constructions identitaires et des appartenances de chacun(e).
A partir de la collecte de récits de vie, le projet vise aussi à permettre aux professionnels en lien avec des jeunes (enseignants, éducateurs, animateurs de quartier, travailleurs sociaux, etc.) et à leurs roches (familles, fratries, pairs) de devenir des acteurs réflexifs, d’oser quitter le silence et de (re)trouver une place mobilisatrice tant éducationnelle que sociale au sein de notre société.
Directeur d’un programme pilote de déradicalisation de djihadistes détenus en France, Jean-Luc Marret, maître de recherche à la FRS, pointe du doigt les retards français en matière de standards de sécurité carcérale.
LE MONDE | 23.12.2016 à 06h39 • Mis à jour le 23.12.2016 à 11h36 | Propos recueillis par Gaïdz Minassian