65 shaares
1 lien privé
1 lien privé
Les attentats du 13 novembre ont causé de nombreux traumatismes que l’on pourrait être tenté d’assimiler à ceux dont souffrent les personnes réfugiées, qui par définition ont fui la violence extrême.
Si l’on peut trouver des points communs sur les différentes façons qu’a l’être humain de réagir à l’irruption de la violence, les circonstances dans lesquelles ces traumatismes ont été créés ne sont pourtant pas comparables. Interview d’Helena D’Elia, psychologue et psychanalyste à la fois au Centre Primo Levi et en cabinet privé.